Comme beaucoup de gens, j'adore Edward Hopper, peintre Américain (1882 - 1967) ses grands paysages vides souvent coupés de rails, pleins de mystères, des maisons perdues sur la lande, des personnages qui semblent enfermés dans leur solitude, des scénarios, des situations "hitchcockiennes", (passionné de cinéma), enfin toute son Amérique exprimée de 1904 à 1967.
Il y avait beaucoup de monde, heureusement que ma copine avait réservé très à l'avance. C'était magique! Voir en vrai les tableaux dans leur format réel devant soi et découvrir aussi ce que j'ignorais de lui, ses gravures superbes, ses aquarelles et son travail d'illustrateur qui lui permettait de "manger", c'est du grand art.
J'ai dessiné dans le train, à l'aller et au retour. Mohamed Hassan Dialo, un jeune homme d'origine Guinéenne s'est prêté au jeu et très content du résultat l'a photographé avec son téléphone et envoyé à tous ses contacts... Marrant!
Il faut dire que j'ai utilisé pour le première fois le fameux crayon Derwend Drawing noir que Stépahnie Ledoux utilise, alors... touchée par la grâce ou le crayon?? Pour moi c'est toujours aussi jubilatoire!
Un beau dimanche bien froid à Paris, à flaner dans le quartier Latin, le long des quais de Seine, un repas pris dans un restaurant "Montagnard" très Kitsch, et surtout sans jamais croiser un seul manifestant "anti-mariage-pour-tous" dans la rue. Heureusement, ce n'était pas mon camp.
Il y avait beaucoup de monde, heureusement que ma copine avait réservé très à l'avance. C'était magique! Voir en vrai les tableaux dans leur format réel devant soi et découvrir aussi ce que j'ignorais de lui, ses gravures superbes, ses aquarelles et son travail d'illustrateur qui lui permettait de "manger", c'est du grand art.
J'ai fait sur place quelques petits croquis extraits de certains tableaux et mis en couleur plus tard. Je vous les livre ainsi que le tableau "Station Service" fait en 1940 pour comprendre l'atmosphère.
J'ai aussi noté son goût prononcé pour les femmes blondes à l'opulente poitrine toujours sexy... Marylin n'est jamais loin.... et sa femme jalouse et toujours présente pour camper le personnnage féminin de tous ses tableaux.
Il faut dire que j'ai utilisé pour le première fois le fameux crayon Derwend Drawing noir que Stépahnie Ledoux utilise, alors... touchée par la grâce ou le crayon?? Pour moi c'est toujours aussi jubilatoire!
Un beau dimanche bien froid à Paris, à flaner dans le quartier Latin, le long des quais de Seine, un repas pris dans un restaurant "Montagnard" très Kitsch, et surtout sans jamais croiser un seul manifestant "anti-mariage-pour-tous" dans la rue. Heureusement, ce n'était pas mon camp. 
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